Novosti
   Događaji
   Projekti
   Razmena studenata
   Mobilnost i stipendije
  JoinEU-SEE
  Basileus
  Campus Europae
  Ceepus
   Galerija
   Linkovi

   

Početna > Međunarodna saradnja > Novosti >

BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE


APPEL À CANDIDATURES

University of Victoria
Department of French
Poste d’Assistant Teaching Professor en français


Date limite: 15 novembre 2015

Le Département de français de l'Université de Victoria sollicite des candidatures pour un poste à temps plein titularisable au rang de "Assistant Teaching Professor" avec date d'entrée en fonction le 1erjuillet 2016.

Responsabilités: enseignement de cours de français langue seconde à tous niveaux du programme de premier cycle; participation au bon fonctionnement du département et recherches reliées à la pédagogie.

Qualifications : Doctorat (PhD) en études françaises en main ou dans un domaine pertinent. Anglais et français au niveau langue maternelle ou équivalent. Solide expérience en enseignement du français langue seconde au premier cycle du niveau post-secondaire et en enseignement des langues assisté par ordinateur (documenté par un dossier pédagogique avec évaluations et synthèse pédagogique).Avoir une certaine expérience dans l’encadrement des moniteurs/trices de langue (Teaching Assistants) serait aussi un atout.

Le Département de français (http://web.uvic.ca/french) de l’Université de Victoria, Colombie-Britannique (http://opportunities.uvic.ca), fait partie de la Faculty of Humanities, avec la mission suivante : « Engager la communauté en approfondissant la compréhension des littératures, langue et cultures du monde francophone, et favoriser l’acquisition, la dissémination et l’application de ces compétences à UVic et à travers le monde. »

Dossier de demande: lettre de motivation, curriculum-vitæ, exemplaire des publications, dossier pédagogique. À envoyer, ainsi que trois lettres de référence confidentielles sous plis séparés, à:

Marc Lapprand, directeur
Department of French
University of Victoria
PO Box 1700 STN CSC
Victoria BC  V8W 2Y2
Canada
lapprand@uvic.ca
Tél. : 1-250-721-7364
Fax : 1-250-721-8724

Éthique d’embauche : L’Université de Victoria pratique une éthique d’embauche qui encourage les candidatures de femmes, de personnes handicapées, de membres des minorités visibles, des peuples aborigènes, de personnes de toute orientation sexuelle ou genre déclaré, ainsi que toute personne encline à accroître la diversité de l’Université. Nous invitons tout candidat qualifié à poser sa candidature. Cependant, conformément aux lois canadiennes sur l’immigration, les citoyens et résidents permanents du Canada auront la priorité.

Les personnes handicapées qui anticipent des besoins spéciaux lors de leur processus de candidature et d’embauche sont invitées à contacter le bureau de Grace Wong Sneddon, Adviser to the Provost on Equity and Diversity, au (250) 721-6143. Toute information personnelle sera traitée de manière confidentielle.


BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO


APPEL À COMMUNICATIONS

Autour de la parenthèse
Colloque international
2-4 mars 2016, Institut Supérieur des Sciences Humaines de Jendouba (Université de Jendouba), Tunisie

Extension de la date limite de soumission au 30 novembre 2015

 
Inventé dès le XIVe siècle, le mot « parenthèse » désignait d’abord une figure de rhétorique, peu appréciée du reste, qui consiste à insérer une phrase au sein d’une autre phrase. Le mot « parenthèse » désigne aussi bien le signe de ponctuation (emploi du pluriel) que la séquence phrastique incise.
La phrase parenthétique se caractérise par son autonomie syntaxique par rapport à la phrase cadre. Elle serait, lit-on souvent, non indispensable. Son intrusion aux cœurs de la phrase française qui se veut rigoureuse a pu être considérée par certains comme « parasitaire », consacrant la « faillite du discours », par d’autres. Montaigne, en tout cas, n’est pas de cet avis. Il en appelle à Platon. « J’aime l’allure poétique, à saut et à gambade », reconnaît-il. De fait, on ne peut départir la parenthèse du paradigme de « l’excursion, de l’incursion ou du voyage » (RandaSabry) pour dire autrement les « gaillardes escapades » évoquées par Montaigne.
La tendance à ouvrir des parenthèses est une constante significative dans le roman moderne et contemporain. Bien plus chez certains auteurs, le segment parenthétique en tant qu’expansion,  peut inverser la hiérarchie et prendre le statut de prédicat prioritaire aux dépens du noyau.
 
Les communications pourront porter, à titre indicatif, sur :
 
Axe I : Le statut syntaxique de la parenthèse
Au niveau syntaxique, la parenthèse, définie comme un fragment discursif dont les dimensions sont très variables (allant d’un mot à un très long fragment, se déclinant en incise, incidente, apposition, etc.), suscite de nombreuses questions : quel est le statut de l’élément parenthétique ? Y a-t-il une hiérarchie syntaxique entre la parenthèse et le discours dans lequel elle est insérée ? Quelles sont les limites syntaxiques de la parenthèse ? Comment peut-elle servir à la structuration du texte ? Joue-t-elle le même rôle que les connecteurs qui structurent, eux aussi, le texte ?
 
Axe II : La dimension orale du fragment parenthétique
A l’oral, la parenthèse est marquée par la pause, le groupe rythmique, la prosodie de façon générale. Elle est ainsi une question de mouvement situé dans le temps, donc de rythme et de prosodie.  La parenthèse peut également rappeler l’origine du Verbe et ancrer la situation énonciative dans l’ici et le maintenant grâce aux adresses au lecteur. Elle peut remplir une fonction purement phatique et serait dans ce sens l’expression d’un besoin d’immédiateté physique et spatio-temporelle. Elle est mimétisme nostalgique d’une situation énonciative orale (première). Celui qui parle a besoin de silence pour respirer. Celui qui écoute aussi. Le silence permet de saisir la parole et la parole de rythmer le silence.

Axe III : la dimension énonciative de la parenthèse
Au niveau de l’énonciation, la parenthèse marque une des « traces » dans l’énoncé de l’acte de production. Elle peut être un commentaire métalinguistique, une certaine modalisation de l’acte d’énonciation ou tout simplement une distanciation par rapport au contenu de l’énoncé. Un tel fonctionnement de la parenthèse peut correspondre à l’incise, à l’incidente, à l’apposition explicative, à la digression, etc.

Axe IV : Apport(s) sémantique(s) de la séquence parenthétique
Au niveau du sens, quel impact a la parenthèse sur le sens global du discours dans lequel elle est insérée ? S’agit-il d’une prédication seconde ou d’une connexion transphrastique ? Quelles sont les principales valeurs sémantiques que peuvent exprimer les fragments de la parenthèse? Quel rôle sémantique joue la parenthèse dans le discours métalinguistique notamment dans le discours spécialisé ? Les exemples dans le discours métalinguistique sont-ils une parenthèse ?

Axe V : Les fonctions diégétiques de la parenthèse
Ouvrir une parenthèse dans un récit d’événements signe une pause, introduit une description, un portrait (que certains lecteurs de Balzac sauteraient volontiers). La parenthèse serait un « élément retardant » selon Spiltzer, commentant l’esthétique parenthétique de Proust.
Au niveau des relations temporelles, la parenthèse peut convoiter le statut anachronique : elle est prolepse ou analepse selon les nécessités et les enjeux du récit (Gérard Genette). Temps perdu ou temps retrouvé, la parenthèse sollicite la mémoire.
 
Axe VI : La dimension phatique du discours
Elle est dans ce cas ce que Maurice Blanchot appelle « parole non parlante ». « L’essentiel, ce n’est pas que tel homme s’exprime et tel autre entende, mais que, personne en particulier ne parlant et personne en particulier n’écoutant, il y ait cependant de la parole et comme une promesse indéfinie de communiquer, garantie par le va-et-vient incessant de mots solitaires», nous dit-il. Elle est en cela une « activité exclusivement relationnelle », exprimant dans ses courbes, le désir de l’autre. Elle réclame non seulement son attention mais sa sympathie. Le sujet scripteur soulève, à travers la parenthèse, la question de l’altérité qui est au centre même du projet littéraire.
 
Axe VII : La parenthèse comme parole libre
La parenthèse peut être parole digressive, souvent définie comme « partie du discours qui n’est pas vraiment nécessaire ». Elle est bavardage dès qu’elle est parole « démuni(e) de situation énonciative causale » (Pierre Van Den Heuvel). Elle est peur de la mort et trouve en cela sa causalité, sa nécessité profonde dans son essence même : « doux bruissement humain en nous, autour de nous » (Maurice Blanchot). Mais au-delà du contenu, la parenthèse peut relever de l’esthétique du fragment. Peu importe ce qu’elle énonce, du moment qu’elle crée la discontinuité, autant de déchirures qui empêchent le texte d’être le « monstre de la totalité », la parole totalitaire étant une parole « sans vide » (Roland Barthes).
 
Axe VIII : La parenthèse comme foyer de l’indicible
Parler par parenthèse, c’est toujours parler, n’en déplaise aux esprits carrés. C’est surtout dire ce que la phrase/réflexion « linéaire », prosaïque, dirait Montaigne, serait gênée de dire. La parenthèse peut exprimer le rêve fondamental du conteur : tout dire. De Rabelais à Beckett, sa présence renvoie de façon oblique à la question de l’insuffisance du langage, des mots. Elle serait dans ce sens l’expression d’une angoisse : le silence signé par la fin du récit. Aussi le discours parenthétique peut contenir la parole insidieuse, impertinente qu’un puriste lecteur sauterait sans autre forme de procès. Il peut au contraire accueillir les confidences et les affects (Georges Perec). Entre ces deux extrêmes, la parenthèse peut introduire méthodiquement un exemple ou un précis linguistique.
 
Axe IX : Le rapport lecteur/parenthèse
Mais, au final, à qui appartient la parenthèse ? au lecteur, sans doute, répondrait Jacques Drillon. Alors, dans ce cas, s’agissant des parenthèses herméneutiques, pourquoi le lecteur a-t-il l’impression que l’auteur empiète sur son rôle ou, du moins, le prend-il trop par la main ? N’est–elle pas le signe d’une impossible séparation entre l’Auteur et l’Œuvre ? Ne consacre-telle pas un espace disputé par deux intelligences qui s’attribuent (exclusivement ?) le travail de l’interprétation ?

Renseignements pratiques

Le colloque se déroulera du 02 au 04mars 2016, à l’Institut Supérieur des Sciences Humaines de Jendouba (Université de Jendouba)
Adresse postale : Avenue Ettihad El Maghreb El Arabi, route Ain Draham, 8180 Jendouba Nord
BP.N°104 Jendouba Nord   Tel. 78 610 202/ Fax : 78 610200

Site Web: www.isshj.rnu.tn
Les communications, en français, en arabe et en anglais, dureront 20 minutes chacune et feront l’objet d’une publication académique, après avis d’un comité scientifique international. Les propositions, accompagnées d’un résumé et d’une courte notice biographique (500 mots maximum, 3000 signes), sont à adresser avant le 30octobre 2015 par e-mail à l’adresse suivante:
colloqueparenthesejendouba16@gmail.com
La réponse du comité scientifique est prévue pour le 15 décembre 2016, au plus tard. Des lettres d’invitation seront envoyées aux auteurs des communications retenues par le Comité scientifique.
Droit d’inscription
Les participants sont redevables d’un droit d’inscription forfaitaire de 80 euros (ou leur équivalent en dinars tunisiens). Ce droit d’inscription inclut : le programme du colloque ; le recueil des résumés et un exemplaire des actes édités.
Un programme touristique et culturel dans les régions de Bella Régia et Tabaraka est envisageable sur inscription préalable.

Comité scientifique littéraire
Ahmed Mahfoudh (Faculté des Sciences Humaines et Sociales de Tunis)
Isabelle Serça (Université de Toulouse)
IssamMarzouki (Institut Supérieur des Langues de Tunis)
Mokhtar Sahnoun (Faculté des Lettres, des Arts et des Humanités de La Manouba)

Comité scientifique linguistique
Jacqueline Bacha (Institut Supérieur des Sciences Humaines de Jendouba)
Salah Mejri (Université de Paris 13, Sorbonne cité)
Franck Neveu (Université de la Sorbonne, Paris 4)
Samir Laabidi (Académie Militaire, Tunisie)


BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE

APPEL À CONTRIBUTIONS

Points communs numéro 4

Date limite: 1er décembre 2015

Thème: Le français professionnel: quels enjeux et quelles perspectives méthodologiques?

Les résumés d’articles devront être envoyés à Dominique Fin, rédactrice en chef: dfrin@cci-paris-idf.fr avant le 1er décembre 2015. Ils devront comporter entre 900 et 1700 signes (espaces compris) avec une bibliographie non comprise.

Pour consulter l'appel:
http://fipf.org/sites/fipf.org/files/appel_a_communications_points_communs4_1_1.pdf


BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO

 
APPEL À COMMUNICATIONS

Les XXXes Journées de linguistique
2, 3 et 4 mars 2015 à l’Université Laval (Québec, Canada)

Date limite: 11 décembre 2015

Les Journées de linguistique sont un colloque étudiant multidisciplinaire d’envergure internationale organisé par l’Association des étudiantes et étudiants diplômés et inscrits en langues, linguistique et traduction en collaboration avec le Département de langues, linguistique et traduction de l'Université Laval.

Depuis 30 ans, les Journées de linguistique permettent aux étudiants des cycles supérieurs de présenter les résultats de leurs travaux dans des domaines relatifs à la langue : linguistique, terminologie, traduction, didactique, communication, orthophonie, littérature, sociologie, anthropologie, philosophie, psychologie, etc. Ce colloque multidisciplinaire a permis à plusieurs jeunes chercheurs de présenter leur première communication et de publier leur premier article scientifique.

Appel à communications
L’association d’étudiants diplômés en langue, linguistique et traduction de l'Université Laval vous invite à participer à la XXXe édition des Journées de linguistique (JDL), les 2, 3 et 4 mars 2016.

Le but principal de ce colloque multidisciplinaire est de permettre aux jeunes chercheurs (2e et 3e cycle) de présenter les résultats de leurs travaux dans des domaines relatifs à la langue (linguistique, terminologie, traduction, didactique, communication, orthophonie, littérature, sociologie, anthropologie, philosophie, psychologie, etc.) et de publier un article scientifique.

Nous vous invitons à soumettre un résumé de communication d’un maximum de 250 mots à partir du formulaire disponible sur ce lien (http://goo.gl/forms/HdJQPmyA1V) au plus tard le 11 décembre 2015. Les communications doivent être d’une durée maximale de 20 minutes, et sont suivies d’une période de questions de 10 minutes. Nous encourageons les participants à présenter leur communication en français, mais les communications en anglais ou en espagnol pourront être considérées. Les propositions d'étudiants de 1er cycle pourront également être évaluées.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter notre site web (http://jdl.lli.ulaval.ca), notre page Facebook
(https://www.facebook.com/Les-Journées-de-linguistique-JDL-237763369605428)
ou nous écrire par courriel (jdl@lli.ulaval.ca).


BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE FRAMONDE BRÈVE FRAMONDE BRÈVE FRAMO


Nouveau site: http://framonde.auf.org/


 
© 2007. Filozofski fakultet u Novom Sadu